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Notre histoire cette légende

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Message  yurine Mar 17 Fév 2009 - 15:39

Je crée ce post pour que tout le monde puisse écrire l'histoire de son personnage, c'est toujours interressant de voir comment les autres imaginent leurs histoires.
De plus ça fait de belles histoires à lire; comme un exemple vaut mieux qu'un long discours je commence.


Tout à commencé il y a longtemps, dans un village de mineur des montagnes du nord, nos ancêtres y avaient trouvé un filon, au fil des années nous formâmes une communauté de deux mille enutrofs et chasseurs de trésors. Le climat était rude, les attaques de bêtes sauvages monnaie courante, on dit que ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort, les bêtes ne nous avaient pas tué et nous étions devenus des guerriers renommés dans la région, bien que nous vivions coupés du monde, notre seul contact avec le monde était un petit village de paysans fécas.

Je suis né fils et petit-fils de mineurs, naturellement je suivis les traces de ma famille, à 18 ans j'étais déjà un mineur expérimenté et un guerrier de premier ordre. je passais des jours heureux, entouré d'amis comme moi frappés par la fièvre de l'or. Cette année là il y eu un évènement spécial qui marqua mon esprit, le plus ancien de nous tous, Nouwel, partit en ermitage dans la forêt.

-Je suis vieux maintenant, nous dit Nouwel, j'ai suffisamment de bien pour vivre encore des centaines de vies, Enutrof m'a parlé dans mon sommeil, m'a félicité pour ma réussite, il m'a dit qu'il me guiderait vers la finalité de sa philosophie pour cela je dois partir en ermitage dans la forêt, je vous quitte aujourd'hui et j'espère que comme moi votre réussite vous fera rencontrer Enutrof.

Nouwel partit dans la forêt, et nous laissa pleins d'espoirs, l'exploitation de la mine prit un rythme jamais vu, nous étions galvanisés par la pensée de rencontrer Enutrof en personne. L'hiver vint trés tôt cette année là, plus rigoureux que tous ceux que le village avait connu. Habiles chasseurs nous ne manquions pas de nourritures, les stocks de viandes salées avaient été fait pour l'hiver. Au fur et à mesure que l'hiver avançait, certains chasseurs rapportaient des faits étranges, quantité de bêtes sauvages quittaient les montagnes, on racontait même que des mulous fuyaient les yeux remplis de terreur. Le printemps approchait et une équipe de mineur mis au jour une galerie naturelle au fin fond de la mine. mais de là une quantité phénoménale d'araknée de tous types se mit à jaillir du sol, l'arlame fut immédiatement donnée, tout le monde se rua dans la mine et la grande extermination commença, il en venait encore et encore, au bout d'un jour de combat nous envoyâmes un éclaireur demander de l'aide au village féca dans la plaine. Au bout de trois jours de combats acharnés il fut décidé de fuir le village, les enfants seraient escortés en sécurité pendant que les plus vaillants guerriers couvreraient leurs fuites. Sur 700 combattants nous n'étions plus qu'une petite centaine, fatigués par trois jours de combat sans sommeil, mais plein de courage, si nous perdions les autres seraient en danger. Le village vidé de ses habitants et de ses trésors nous commençâmes à remonter dans les galeries, presque arrivés à l'entrée de la mine nous n'étions plus qu'une douzaine, mais là une pensée nous fit trembler, nous allions mourir, c'était une certitude, mais une fois mort que feraient les araknées quand elles seraient sorties ? Si jamais elles se répandaient dans la région ? Que deviendraient nos compagnons fuyant lentement dans la neige et le village feca qu'ils étaient sensés rejoindre, seraient-ils à l'abris ? Tant qu'à mourrir autant sauver nos amis, les derniers survivants, nous les plus forts guerriers du village réunîmes nos pouvoirs pour faire exploser la mine, à partir de là c'est le noir complet.

Je me réveillais sous une tente, couvert de bandage, le corps en feu, mais j'étais en vie ! La nouvelle de mon réveil étonna les eniripsas qui me soignaient, des cinq survivants retrouvés dans les décombres j'étais le plus mal en point et deux étaient déjà morts de leurs blessures. Le lendemain on vint me raconter ce qu'il s'était passé.

Mes compagnons qui avaient fuit le village me racontèrent leurs périples. Ils avaient progressés lentement , le dernier blizzar de le saison n'avait pas fait de victimes; mais une horrible surprise les attendaient, ils découvrirent le village féca vide et partiellement brûlé. Sur la place du village trônait une tombe magnifique, où il était inscrit un nom qu'ils connaissaient bien, le vénérable Nouwel était mort ici, alors que tous se recueillaient devant la tombe, les nuages se levèrent, ils pouvaient tous voir la montagne qu'il avaient quitté et l'abattement gagna les rangs. A ce moment, une formidable explosion retentie et une boule de feu apparut au-dessus de la montagne, frappés de stupeur, puis pris par la peur tous se remirent en chemin, cette explosion était une arcane interdite qui était réservée aux cas désespérés, si ceux qui combattaient là-haut l'avaient utilisée, il se pouvait que les araknées rattrapent la colonne de réfugiers, ils marchèrent un jour et une nuit vers la ville la plus proche, à mi-chemin il rencontrèrent un corps expéditionnérent de mercenaires venus de la ville. L'éclaireur que nous avions envoyer ne trouvant personne au village féca était allé demander de l'aide en ville, la situation fut rapidement expliquée et les enutrofs continuérent vers la ville. Les mercenaires forcèrent l'allure pour préter main-forte à ceux qui combattaient dans la mine. Ce sont eux qui nous découvrirent deux jours après notre débacle et nous ramenèrent en ville.

Je fut alité pendant un mois à peu prés, un beau matin la douce brise qui venait du dehors me poussa à me lever de mon lit et à sortir, je me trouvais au milieu d'un village de tente, un village de réfugier, je vis beaucoup de tête familiéres, mais aussi beaucoup de féca. Et d'un coup je fut pris de fureur, pourquoi les fécas étaient-ils ici ? pourquoi aucun d'eux n'étaient venu quand nous nous faisions massacrer dans la mine? Alors que j'hurlais ma rage un flot de sang sortit de ma bouche et je tombais face contre terre réduit au silence. De nouveau au lit et pour encore un mois, on eu tout le temps de m'expliquer pourquoi les fécas ne nous avaient pas aidés, attaqués eux aussi, c'était le vénérable nouwel qui les avait sauvé. Cette fois j'avais les idées claires, et j'eu tout le temps de me rendre compte, que mes blessures étaient graves, mon visage avait été claciné par le souffle de l'explosion, au moins tout mes membres étaient là.
Quand je pu remettre un pied devant l'autre je m'aperçu qu'autre chose avait changé, le regard des autres. Je n'était plus un gamin téméraire à leurs yeux, mais un vétéran, mes cicatrices et ma démarche mal assurée me donnaient des années que je n'avait pas. L'été arrivant on réunit un conseil extraordinaire de réfugiers, nous ne pouvions rester ici indéfiniment et retourner sur nos anciennes terres était hors de questions, il fallait choisir un en droit où s'installer. Mes deux cammarades survivants et moi-même eûmes la surprise d'être invitée au conseil, aprés de longues discussions il fut décider que les fecas et les enutrofs fondraient un village ensemblent, ces quelques mois à vivre sous les mêmes tentes nous avaient soudés.
Direction le sud, là-bas les moissons seront bonnes et les hivers doux avait tranché le conseil, la ville qui nous avait accueillit était sous la protection de bonta, c'est yout naturellement qu'une fois notre village construit nous nous tournâmes vers Bonta pour demander leurs protection. Moi fort de mon statut de vétéran je montais une modeste école de combat, à côté de la taverne à la demande des fécas, prévoyant ces fécas, ils avaient concluent que si une bagare éclatait à la taverne ma présence sur les lieux raménerai le calme, j'en imposais pas mal avec mes cicatrices. Puis le premier raid brakmarien eu lieu, nos frêles palissades ne suffirent pas, un combat acharné commença dans les rues du villages. Heureusement enutrof nous à doté de pouvoirs utilisables à une certaine distance de l'ennemi, la bataille fut gagné sur les toits par les enfants qui s'y étaient réfugiés et qui s'étaient mit à aider les adultes dans la melée. Les fécas, avaient retenus les leçons du désastre qui avait touché leur premier village, ils s'étaient entrainés aux armes savaient se défendres. A la tête de mes éléves nous massacrions méthodiquement les soldats désorganisés par les sorts et objet qui leurs tombaient dessus, finalement la bataille fut gagnée sans déplorer trop de morts.
Je vécu comme cela durant quanrantes années à peu prés, la vie était rythmée par le passage de mes élèves, par les biéres à la taverne, par les raides brakmariens repousés sans difficultées; je n'avait qu'un seul regret je n'avait aucun succés au prés des femmes, pour commencer un enutrof a du mal à tenir la comparaison avec un féca ensuite j'était un enutrof cuit à point...Mais malgrés cette petite solitude, j'étais satisfait de cette vie.
Puis Bonta perdit une grande bataille, les remparts de Bonta la protégeaient, mais la campagne fut mise à feu et à sang. Et ce qui devait arriver, arriva, cette fois c'était une armée organisées et nombreuse qui était à nos portes. Dès l'alarme donnée je me ruais sur les remparts, de là je pouvais constater l'effrayant spectacle qu'offrait une armée brakmarienne, dix mille hommes, et parmis eux des troupes d'élites xélors et osamadas.

Ils ne nous considéraient pas comme une menace et ils ne prirent pas la peine d'assiéger notre village fortifié, nous profitâmes de cette opportunité, pour faire fuir la plus grosse partie des habitants. Les guerriers les plus capables restérent retarder un peu l'ennemi, pour que la colonne de réfugier est le temps de se mettre hors d'atteinte. Le lendemain les brakmariens n'attaquaient toujours pas, les habitants avaient eu le temps de fuir. Quel que soit soit la raison de leur attente j'en profitais, je demandais aux fécas restés sur place de me charger de bouclier me protégeant contre les distorsions temporels des xélors, puis je convaincs tout le monde de partir et de rejoindre nos amis. Moi, j'avais un plan à mener à bien, j'allumais un feu dans chaque cheminée, je m'activais sur les murs pour maintenir l'illusion que le village était toujours habité. Le jour suivant les brakmariens se décidérent à attaquer, la raison de leur attente m'apparu sur leur flan gauche, des cavaliers, des centaines de cavaliers. C'était une trés mauvaise surprise car les cavaliers pourraient donner la chasse au habitants de mon village avant que ceux-ci ai gagné bonta, la ruse se retournait contre moi, je ne pouvais faire prévenir les prévenir et si je partais moi-même les brakmariens seraient plus rapide que moi. Je n'avais plus qu'à les retenir le plus de temps possible, un contre des milliers c'était mal partit. Je décidais de descendre des remparts pour aller au devant de l'ennemi, un homme seul qui avance vers une armée ça en impose, en tout cas ils ne chargérent pas et c'était toujours du temps de gagné. Je m'arrêtais à 100 métres des premiers rangs adverses, un émissaire brakmarien vint à moi. Il exigea notre capitulation, je lui proposais des négociations; ceci ne lui plaisait pas mais il retourna dans ses rangs en faire le rapport à son chef. Quand il revint, le sourire aux lévres, je comprit que les négociations s'arrêtaient là. Alors je me plongeait dans mes souvenirs, le froid, la pierre, les araknés sorties des enfers et surtout l'arcane d'auto-destruction. Là-bas j'avais survécu à l'explosion, protéger par les anciens qui nous avaient poussés hors de la zone critique aprés que nous ayons mit tous nos pouvoirs à leur disposition.
J'était bien plus fort qu'en ce temps-là, et je nourrissais l'espoir d'emporter la cavalerie brakmarienne dans ma tombe; les boucliers fécas fesaient toujours effets, les xélors ne pourraient pas m'arrêter une accélération pour arriver jusqu'aux premiers cavaliers et je lancerai mon dernier sort. Mais je n'avait plus le temps de rêvasser; voyant que je ne retournait pas vers les remparts, les brakmariens commençaient à avancer, pour gagner encore un peu de temps le levais ma pelle devant moi en signe de défi et criais:

-Je suis Yurine le balafré ! J'ai vaincu des centaines de vos semblables, que ceux qui veulent se couvrir de gloire viennent m'affronter !

Je suis fier de ma prose, j'avais semé le doute chez certains et la colére chez les autres. D'un coup tout alla trés vite, une rumeur traversa les rangs adverses, la bleusaille impressionnée par le guerrier connue que j'étais et les vétérans ivres de rages. Le désir de vengeance était plus fort que la discipline et tous me chargérent, je respirais calmement puis commençais mon sortilége, quand j'entendit une voix calme et pleine de sagesse, Enutrof me dit:

-Tu n'est pas mon disciple le plus fortuné, mais tu as passé ton existence à perfectionner les sorts et techniques que je vous ai appris et à défendre les autres, j'aime ça. Je peux t'aider, mais rien est gratuit, tu balayeras cette armée avec ton sort et tu resteras en vie, mais en échange je te prendrais tout ton savoir et toute ta gloire.

Ce qu'avait dit Enutrof était vrai, j'étais au milieu d'un champ de cadavres, mon village n'avait plus rien à craindre. C'est à ce moment que commence ma vie actuelle, je décidais de prendre quelques affaires et de partir en voyage, je ne savais plus rien de mon art, mais j'étais décidé à tout réapprendre et de surpasser le guerrier que j'avais été. Aprés quelques années j'ai rencontré un jeune féca avec qui je me suis lié d'amitié, grâce à lui j'ai rencontré beaucoups de mes amis et ma guilde. Maintenant, me voilà vieux, mes cicatrices ce sont éffacées, mes bras ne sont plus si fort qu'avant; mais je suis arrivé plus loin que je suis jamais allé. Je suis devenu Yurine le chieur, défendant sa biére et son bifstéque de dragodinde, je suis menteur, avare et cupide; c'est à vous de savoir si vous croyez à mon histoire ou pas...


Dernière édition par yurine le Mer 18 Fév 2009 - 17:06, édité 6 fois

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Message  Miaouss Mar 17 Fév 2009 - 17:38

youhou que...quelle histoireuh :O le suspence , la mort , le périple, le sans y'a pas mais bon y'a la mort!!
Mais il manque encore 998pages :° aller yurine au boulot!!

PS : Vieux Ch'noque a survécu rassureuh moi :'( ??
PPS : J'attends la suite!!
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Message  Tititienne Mar 17 Fév 2009 - 18:49

Le sang Eca, pas le sans!
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Message  yurine Mer 18 Fév 2009 - 17:07

Voilà, mon pavé est finit, à vous maintenant .

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Message  Khrysalide Jeu 19 Fév 2009 - 21:56

Bravo Caillou, c'est une très belle histoire study

J'ai beaucoup aimé, je comprends pourquoi tu es si chieur papy Wink

J'ai hâte d'en lire d'autres.
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Message  yurine Dim 22 Fév 2009 - 23:25

Merci khrysa, à ton tour ^^.

P.S: Nouwel de mon histoire a une histoire à lui, c'est un livre dans le jeu, à vous de le trouver et de comprendre comment nouwel est mort.

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Message  Khrysalide Lun 23 Fév 2009 - 20:54

Voici l’histoire d’un papillon nommé khrysalide.

Un féca du nom de Kounmata, péchait sur les berges de Sufokia quand il entendit un drôle de gémissement.
Il s’approcha de l’endroit d’où venait ces bruits bizarres et découvrit un seau non pas rempli d’eau mais avec un bébé dedans ; c’était moi.
Ce jour là, le 7 juillet fut marqué comme le jour de mon anniversaire, car on ne savait quel jour m’avait vu naître.
Kounmata me ramena chez lui et appela sa femme Kaluna (Pandate). Quand elle arriva, elle découvrit avec surprise son mari avec un bébé dans les bras.

- Oh comme il est petit !
- Elle est petite oui, c’est une fille. Et je crois que c’est une éniripsa. Regarde ces bosses dans le dos.
- Oh ! Ah ! Comme elle est jolie et si fragile aussi. Mais elle doit bien avoir des parents.

Kounmata lisait un papier et la regarda.

- Non, lis cette lettre.
https://servimg.com/view/13103894/9

Kaluna releva la tête, les yeux larmoyants.

- Pauvre petite… elle regarda son mari avec un sourire timide. Dis tu penses la même chose que moi ?
- Oublie tout de suite ! On n’est pas assez éloigné des Landes Noires. D’ailleurs c’est sûrement des mercenaires de là bas que j’ai vu ce matin.
- Alors partons d’ici, allons sur Pandala, dans la maison de mes parents. Ils seront heureux de nous accueillir. De plus ici, il n’y a rien qui nous retient.
- Tu as peut être raison.
- Et puis je serai si heureuse que nous l’élevions comme notre propre enfant.
- Je sais ma chérie. Nous ne pourrons jamais en avoir. Alors le destin l’aura mise sur notre route.
- Je le pense aussi.

Dans les bras de Kounmata, le bébé s’était endormi. Ils le regardèrent tendrement.

- Elle est si frêle comme un cocon. Que dirais-tu de l’appeler Khrysalide ?
- C’est très joli, cela lui va bien. Et bientôt elle deviendra le plus beau des papillons.

C’est ainsi que débutait ma vie au sein de ce couple peu ordinaire.
Ils rassemblèrent leurs affaires ; rendirent les clés de la maison à leur logeuse et s’en allèrent pour Pandala.

.......................................................
A Pandala, la maison des parents de Kaluna se trouvait près de la forêt.
Ils furent accueillis à bras ouverts et moi aussi. Mes grands parents (des pandas) tenaient une taverne. Ils me donnèrent pour compagnon un chacha qui grandirait avec moi et me protégerait.
Les années s’écoulèrent heureuses et tranquilles sur l’île de Pandala.

Vers l’âge de sept ans, je découvris avec stupeur que mes mains pouvaient faire de drôles de choses.
Je me promenais avec chatouille (mon chacha qui avec ses moustaches me chatouille tout le temps ; d’où son nom), quand nous tombâmes nez à nez avec une drôle d’herbe.

- Aie aie ! Tu m’as cassé une feuille ! Maladroite que tu es, regardes où tu mets les pieds !
- Je ne t’ai pas vu, excuse moi petite herbe.
- Petite ! Petite, mais c’est toi qui est petite. Tu vas voir, je vais te réduire en miette, petite eniripsa.
Trop tard pour reculer. Je me retrouvais en combat.

Mes parents m’avaient bien dit que j’étais une eniripsa et que je pouvais soigner ceux qui en avaient besoin et blesser ceux qui m’attaquaient. Mais comment ? Je ne savais pas.
Ils m’avaient bien inscrite à l’Ecoleni, mais moi je préférais parcourir la forêt avec Chatouille. J’aurai peut-être dû assister aux cours de M. Soinvif pour apprendre la stratégie.

L’herbe lança une attaque qui atteignit Chatouille.

- Miagrrrrr – Mais elle fait mal cette brute. Khrys sauve moi !

Chatouille était touché grièvement.

- Je vais essayer Chatouille, mais je ne suis sûre de rien.

Je chuchotais quelques incantations lues dans le livre « Le parfait eniripsa pour les nuls » (j’adore ce livre tout y est expliqué et pas besoin d’aller à l’Ecoleni. Bon pour la tactique, ce n’est pas indiqué comment procédé).

- Chuchassochifuuuuuuuu

Rien ne se passa.

- Tu as inversé, comme d’habitude, c’est chachussochifuuuuuuuu.
- Tu es sûr ? Bon j’essaie
- Chachussochifuuuuuuuu

Miracle j’ai réussi à fermer quelques plaies, pas mal pour une première fois !

- C’est tout ! cria Chatouille, Ben je serai mort avant que tu es fini de me soigner.
- Oh ! Je fais ce que je peux. Je n’ai que 7 ans, je ne peux pas soigner comme si j’en avais 13 ! C’est quoi déjà le mot pour qui protège ?
- Essaies : chassuchiiichochaaaaaaaa.
- Ah oui, merci Chatouille.
Je chuchotais le mot sur mon chacha et il fut protégé. L’herbe l’attaqua de nouveau, elle l’égratigna à peine. Je décidais de lancer une attaque sur l’herbe. C’était plus compliqué.

- Coucachucheinoucaaaaaa

L’herbe fut blessée. J’en lançais un autre, elle perdit quelques tiges de plus.
Elle riposta, mais sur moi cette fois ci. Mon épaule gauche me faisait horriblement mal. Je me soignais comme je pouvais mais la blessure saignait toujours.
Tout d’un coup je vis que le sol sous les pieds de l’herbe avait changé. Elle mourut d’un seul coup. Je me retournais et vit mon père.

- Papa ! Comme je suis contente de te voir !
- Ma chérie, mais que fais tu ici ? Tu devrais être à l’école.
- Euh… je regardais le bout de mes pieds, il se peut que oui.
- Et alors si je n’étais pas passé dans le coin, que serait il advenu de toi, dis moi ?
- Je relevais la tête, mais je me suis bien défendue, n’est ce pas Chatouille.
- Ou pas, la prochaine fois je ne t’accompagnerai pas.

Et Chatouille, s’en retourna à la maison en claudiquant. J’allais le rattraper quand mon père me rattrapa.

- Laisse-le, ça lui passera. Et toi jeune fille, on a à discuter sur ton éducation.
- Oui papa
- Depuis combien de temps ne vas-tu pas à l’école ?
- Euh…depuis le début…
- Quoi ! Tu crois qu’on t’y a inscrite pour que tu fasses l’école buissonnière ? Tu vas y retourner et s’il le faut je t’y emmènerais chaque jour.
- Mais papa, je n’aime pas ça, j’y suis allée le premier jour, mais je m’ennuyais. Je préférerais m’exercer. Et puis quand il fait aussi beau, difficile de résister à la forêt.
- Hum, je vais en discuter avec ta mère et on verra se qu’on décidera. Pour l’instant rentre à la maison et privée de sortie jusqu’à nouvel ordre.
- Mais…
- Ne discute pas !

Je m’en retournais à la maison en pleurant. C’est vrai que j’avais déçu mes parents, en leur désobéissant. Mais l’école avec ce vieux chnoque, franchement ça ne donne pas envie.

Mes parents discutèrent longuement ce soir là. Ils décidèrent de faire venir un précepteur qui m’enseignerait l’art d’être un eniripsa. Le matin, je devrais étudier et l’après-midi, j’apprendrais à me battre. Ce qui me convenait beaucoup mieux. J’étais contente et assidue et mes parents ravis de voir qu’ils avaient opté pour la bonne solution.
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Message  Khrysalide Jeu 5 Mar 2009 - 19:06

Voilà, peut-être que je ferai une histoire sur l’adolescence de khrysalide, mais je verrai si ça intéresse du monde !!!
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Message  yurine Jeu 5 Mar 2009 - 20:14

sale gosse X)

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Message  Khrysalide Jeu 5 Mar 2009 - 20:18

Oui t'as vu j'en faisais déjà qu'à ma tête lol
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Message  yurine Jeu 5 Mar 2009 - 20:21

et ça ne s'est pas arrangé :p

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Message  Khrysalide Jeu 5 Mar 2009 - 21:27

Ben non, pourquoi faire ? Surprised
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Message  Windra Ven 6 Mar 2009 - 1:54

Huuuummmm khrykhry rebelle j'adore!!

Sinon oui on veut la suite!! D'un parce que ca va te prendre plein de temps (que tu passeras pas ac ton chéri) et puis de deux on pourra voir ta créativité qui n'est pas négligeable pr certaines choses!!
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